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 CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.

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AuteurMessage
Juliet Ainsworth

Juliet Ainsworth

◮ POSTS : 432
◮ CREDITS : @ Psychozee, babouch'.
◮ MOOD : Get out of my way, mothafucka.


I'M NOT JAMES BOND
◮ AGE DU PERSONNAGE: Vingt-six ans.
◮ ADDRESS BOOK:
◮ PECULIARITIES:

CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. _
MessageSujet: CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.   CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. EmptySam 13 Nov - 11:38

CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. Thspnmsnstspn8bymary CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. 4byonlyalive8
    They just wanna have fun,
      Girls just wanna have fun.
Spoiler:
Assise en tailleur au bord du lit, vêtue d’un pyjama en pilou sur lequel était marqué « Pas maintenant, j’ai la migraine » et arborant un chignon très approximatif, Juliet feuilletait un dossier avec une lassitude apparente. Ce look qui rappelait le style sexy du cactus avait été minutieusement travaillé des heures et des heures durant, c’était sans compter que le résultat était là et qu’elle n’en était pas peu fière. Être un bon agent, c’est bien. Être un agent kamikaze en tenue de combat, c’est mieux. Malheureusement, on peut dire que Juliet n’était ni l’un, ni l’autre. Elle attirait juste les emmerdes par paquets de dix. Un petit exemple, peut-être ? Sans problème. Elle était actuellement en mission en compagnie de l’agent 69, « Clay-tu-te-magnes-oui ? » pour les intimes, et ils étaient sensés se la jouer incognito. Problème ? Aucun, si ce n’est que leurs retrouvailles s’étaient soldées par une petite rencontre de deux corps consentants, entre adultes tout aussi consentants. Autant vous dire que les jours qui suivirent ne furent fructueux ni pour l’un, ni pour l’autre : ils s’évitèrent avec brio jusqu’à ce qu’on les colle ensemble sur cette mission. Il fallait alors mettre la nervosité au placard et travailler ensemble, main dans la main. Cependant Juliet n’avait pas confiance en elle, il fallait voir comment elle avait réagi lorsque Clay s’était débarrassé de son t-shirt…

La jeune femme soupira et se massa les tempes, en proie à d’effroyables doutes. Elle lança un regard noir à la porte de la salle de bain. S’était-il endormi dans la flotte comme une loque ou bien quoi ? Peut-être pouvait-elle se permettre de jeter un petit coup d’œil… ? Ne serait-ce que pour s’assurer qu’il n’était pas mort. Non, ce n’était pas le moment de provoquer le Diable et toutes les flammes de l’Enfer. De plus, Juliet n’avait pas envie de finir rôtie comme une grosse saucisse sur un barbecue. Il y avait meilleure fin que celle-ci, il fallait l’avouer. Elle parcourut rapidement le dossier dans le sens inverse et le balança allégrement aux pieds de son lit. La jeune femme saisit alors un magazine féminin sur la table de chevet (bien plus intéressant d’un point de vue pédagogique que toutes ces informations mortelles sans queue, ni tête à propos d'escrocs qui avaient sans doute un peu trop regardé Scarface) et entreprit d’en lire un article qui traitait les nouvelles tendances vestimentaires de l'été prochain.

Lorsque la porte qu'elle guettait précédemment s'ouvrit enfin, elle ne leva même pas le nez de son magazine même si elle n'avait cure des lignes qui dansaient devant ses paupières plissées. Pour dire vrai, jamais elle n’avait pensé se retrouver là, en compagnie d’un homme qui pouvait la faire succomber en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. D’ailleurs, pourquoi se trouvaient-ils dans une ville aussi pommée ? Ne pouvaient-ils donc pas se retrouver dans un somptueux Hôtel Hilton ? Non, bien entendu, non. C’est beaucoup mieux de dormir en compagnie de rats mutants. Rien à faire, Juliet allait piquer les savonnettes qui se trouvaient dans la salle d’eau. Autant qu’il y ait un bon rapport qualité / prix. « Je crois que cette mission va nous prendre la tête. » finit-elle par soupirer « Ce ne sont que des escrocs de bas étage… ‘sont pas du tout dangereux. » La jeune femme leva son regard du magazine et croisa celui de Clay « On devrait rentrer maintenant à Washington. » Non pas qu’elle manquait de courage face à des escrocs déguisés en pingouins de Dark Vador mais… enfin.
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Clay S. Kennedy

Clay S. Kennedy

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MessageSujet: Re: CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.   CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. EmptySam 13 Nov - 18:45

CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. 16305901 CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. Exp0se10
Juliet&Clay

« you're a hot mess and i'm falling for you.»
c. livejournal

Encore une mission. Une chose anodine, un quotidien pour Clay, aussi surprenant que ça puisse paraitre, à part son boulot d’agent, Clay n’avait plus grand-chose dans sa vie, si ce n’est, un chien et ses consoles de jeux. Oui, Clay avait sans doute une vie assez pathétique et on pouvait sans doute l’accuser de ne pas faire d’efforts pour faire changer les choses, oui, il était carrément l’incarnation du parfait blaireau qui trouve que sa vie craint un max mais qui n’a pas vraiment la motivation nécessaire pour se foutre un bon coup de pied au cul et améliorer son quotidien, de plus, Clay était un mec plutôt pessimiste, alors il avait la certitude que s’il se décider à se bouger, tous les efforts qu‘il pourrait fournir ne seraient voués qu'à un misérable échec, comme ça avait été le cas tant de fois dans sa vie. Alors autant ne pas s’embêter et se laissait emporter par un quotidien même emmerdant. Cela dit, dire que le quotidien de Clay était d’une banalité mortelle, ce serait quand même se foutre de la gueule du monde. Notre brave homme était quand même membre d’une organisation secrète gentille conçue pour éradiquer une autre organisation secrète méchante - vision simpliste des choses et très américaine au fond. Faire partit d’une telle organisation ça promettait tout de même un peu de mouvement dans le quotidien d’une personne ! Clay partait régulièrement en mission, des missions qui se déroulaient plus ou moins bien dépendait d’un tas de facteurs tellement aléatoire que même Einstein n’aurait pas eu établir de loi de probabilité renseignant sur le taux de chance pour qu’une mission dans laquelle Clay est impliqué se déroule sans encombres. Il avait cette tendance à être tellement lunatique qu’il pouvait changer d’humeur en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et il suffisait que son humeur passe de « bonne » à « mauvaise » pour qu’il fasse tout capoté. C’était dommage quand même après tout il était très intelligent et trois fois sur quatre il gâchait ce grand talent en s’énervant bêtement et en devenant on-ne-peut-plus impulsif. Ha tiens, en parlant d’impulsivité, venons en à une autre preuve de cette grande impulsivité dont faisait preuve le jeune homme. Cette mission, il devait la réaliser avec Juliet Ainsworth. Ha, Juliet et Clay toute une histoire. Là, perdant un temps fou sous sa douche Clay ne pouvait s’empêcher de se demander pourquoi il avait fallu qu’on le mette avec Juliet. Le problème, ce n’était pas qu’il en l’appréciait pas, bien au contraire. Disons, qu’il avait tendance à l’apprécier un peu trop. Ils s’étaient rencontrés une première fois par hasard et avait couchés ensemble en ignorant tout l’un de l’autre, puis évènement sur évènement, Clay n’avait pas pris le temps de rappeler la jeune femme, c’était peut être du à sa capacité de tout reporter au lendemain genre, il était en train de jouer à la console et il se disait « tiens, faudrait que j’appelle Juliet ! » et en fin de compte, pris dans son jeu il finissait par se dire « Ouais mais là, j’suis poursuivi par un gang de zombies alors je ferais ça demain » et le lendemain, il y avait une autre excuse, plus ou moins différente, plus ou moins innovante, mais le résultat restait le même, le numéro de Juliet restait coincé dans son précieux Blackberry, aussi utile que pourrait l’être une fourchette pour manger une soupe ! Pardonnons la joueuse pour cette expression plus que débile. Le fait est que Clay n’avait jamais rappelé la belle brune, mais qu’ils avaient finis par se recroiser dans les locaux de CONTROL, ne pensant pas une seule seconde qu’ils travaillaient tous les deux pour la dite organisation. Ça aurait pu se passer mal ces retrouvailles, et ça avait mal commencé vu le café que Juliet avait renversé sur le t-shirt de Clay, mais bon, tous les deux dans les vestiaires, Clay qui ôte son T-shirt et voilà qu’ils remettent le couvert ! Y a pire quand même comme retrouvailles, bien qu’elles furent gênantes et que les deux jeunes gens s’évitèrent soigneusement jusqu’à ce qu’ils soient obligés de travaillés ensemble. En plus, ils étaient dans cet hôtel en train de partager une chambre commune, quoi de plus gênant ? Ils pouvaient s’estimer heureux que la chambres aient deux lits et pas qu’un seul, mais la situation était quand même des plus difficile. Le rapport avec l’impulsivité dans tout ça ? C’est que Clay aurait sans doute, bien voulu remettre une nouvelle fois le couvert avec Juliet mais qu’il fallait résister parce qu’ils étaient en mission, qu’ils étaient raisonnable et puis que voilà quoi. Conclusion, Clay était dans la douche depuis une bonne demi-heure essayant au maximum de rester bloquer dans la salle de bain le plus longtemps possible pour vaincre l’impulsivité en question.

L’eau devenant froide, le jeune homme soupira avant de la couper et sortir de la douche et se retrouver plonger dans la petite salle de bain toute embuée. Il attrapa sa serviette qu’il attacha autour de sa taille avant d’attendre comme un con que la buée s’attenue pour qu’il puisse se laver les dents, parce qu’agent secret ou pas, il ne s’appelle pas James Bond et n’est pas doté d’un système d’auto-nettoyage et blanchissage des dents. Bref, se laver les dents fut aussi une action particulièrement lente ce soir là, pourtant, il n’était pas du tout du style à passer trois plombes dans la salle de bain, au contraire, habituellement, il n’y restait même pas un quart d’heure ! Mais ce soir le temps de douche fut multiplier par trois et celui de brossage de dents par deux ! Ceci fait, il n’avait plus le choix, il devait se fringuer avant de sortir de cette satanée salle de bain, il troqua donc sa seule serviette contre un caleçon -bah ouais quand même xD - et un jogging, histoire de justement pas se balader en calbut’ dans la même pièce que Juliet et un t-shirt tout simple - mais bien moulant quand même, histoire qu’on puisse presque baver en l’imaginant - puis, il sortit enfin de la pièce dans laquelle on aurait presque pu croire qu’il avait élu domicile. Il jeta un coup d’œil à Juliet alors qu’il rangeait en bordel -la belle oxymore - ses affaires dans son sac, il écoutait ce que la jeune femme disait et lui adressa un léger sourire quand elle termina en disant qu’ils devraient rentrer à Washington tout de suite. Dans un sens, elle n’avait pas tord, Clay avait pris le temps de lire le dossier lui aussi et c’est clair qu’il s’agissait d’une mission un peu pourrie, la preuve, c’est qu’ils devaient loger dans cet hôtel au milieu de nulle part, c’était vraiment très limite comme endroit. Cette mission semblait inutile et, tous les deux n’étaient sans doute pas les meilleurs agents de CONTROL, mais quand même, ils méritaient mieux, cela dit maintenant qu’ils étaient paumés dans la cambrousse profonde, autant finir la mission avant de rentrer, ça leur donnera au moins l’impression de pas avoir fait le séjour pour rien. Après un léger haussement d’épaule, il répondit à la jeune femme tout en allant s’assoir sur le bord de propre lit pour faire face à celui de Juliet.

« Ouais c’est clair, on est paumé au milieu de nulle part pour retrouver des gros demeurés qui ont l’air tellement cons, qu’ils seraient même pas capable de cambrioler la boulangerie de cette ville de merde, mais maintenant qu’on est coincés dans cette bourgade pourrie au milieu de nulle part ce serait dommage de partir sans avoir rempli cette mission non ? »

Au plus profond de son inconscient Clay se disait qu’au pire ils pouvaient quand même trouver un moyen de s’occuper un peu, ce soir, avant de quitter la ville demain matin et de laisser les cambrioleur de superette dans leur merde, mais nan, ça c’était coincé au fond de l’inconscient refoulé de Clay et il ne devait pas laisser cette réflexion atteindre la partie consciente de son cerveau, même alors qu’il était dans cette chambre en compagnie de Juliet qui même en pyjama était carrément sexy, mais comme c’était si bien écrit sur son pyjama : pas maintenant, elle a la migraine ! Bhé ouais mine de rien Clay a pris le temps de lire ce qu’il y avait écris sur le pyjama, simple curiosité, ne voyait pas derrière ça un regard fortement attiré vers la jeune femme voyons !
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Juliet Ainsworth

Juliet Ainsworth

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CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. _
MessageSujet: Re: CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.   CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. EmptyDim 14 Nov - 20:21

CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. Hellyspn6037 CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. Gemma04
    Well, you're a hot mess and I'm falling for you,
      and I'm like hot damn let me make you my boo.
Spoiler:
Arquant un sourcil, Juliet referma son magazine qui rejoignit rapidement le dossier aux pieds de son lit défait. Elle jaugea son interlocuteur du regard et se sentit soudain très nue dans son pyjama qui lui donnait le look sexy d’un vieux requin édenté. Fort heureusement, Clay n’était pas torse nu et n’arborait rien de provoquant qui aurait pu choquer ses chastes yeux. Un jogging et un t-shirt qui soulignait chaque détail de son torse merveilleusement bien dessiné. Un long frisson parcourut son échine et elle se gratta le menton, arborant une moue pensive. Il avait tout de même une sacrée emprise sur sa personne, ne serait-ce qu’à cause des envies qui régissaient ses réactions. Il fallait qu’elle sorte, qu’elle aille prendre l’air et qu’elle aille donner quelques coups dans un mur de façon à paraître absolument calme par la suite. Non, de toute façon elle ne pouvait pas bouger tant elle était fatiguée et légèrement désappointée à cause du regard que lui lançait Clay. Elle toussota afin de reprendre un minimum de contenance. Pourquoi ne trouvait-elle rien d’intelligent à dire ? Certes, elle ne faisait pas habituellement dans les répliques philosophiques, elle carburait plutôt aux blagues grasses tout juste bonnes à faire rire tout un clan de proxénètes bourrés et shootés mais là, la situation était propice aux conversations sérieuses et / ou aux regards langoureux au dessus d’un plat de lasagnes froides. Où était donc sa paire de lunettes à écailles ? Où était donc ce putain de jeu de Scrabble ? Ils pouvaient aussi regarder un petit film d’horreur, bien tranquillement. Juliet lança un coup d’œil brillant à la télévision qui semblait être… en panne. Et elle ne disait pas cela à cause de l’espèce couche de poussière sur l’écran, non, pas du tout. (enfin…) Il y avait bien un échappatoire qui semblait tout à fait agréable : partir sous la douche et mourir noyée, la tête enfoncée dans la cuvette des toilettes. « Ce serait dommage de partir sans avoir rempli cette mission… » répéta-t-elle en se mordillant la lèvre inférieure « En ce qui concerne cette mission justement, je crois que des connards en rut se sont foutus de notre gueule, Clay. Non mais sérieusement, on doit mettre hors d’état de nuire des… des… » elle sauta par terre, ramassa le dossier et le brandit sous le nez de Clay même si il l’avait déjà lu et relu, tout comme elle « … enfin merde ! On vaut mieux que ça ! » s’exclama-t-elle en balançant rageusement le dossier à travers la pièce qui termina sa course contre le mur qui lui faisait face. Les photos et autres feuilles volantes s’éparpillèrent au sol. Ses caprices de petite fille secouaient l’auberge et Clay, sans aucun doute. Epuisée par tant d’exercice, elle s’écroula sur son lit, luttant tant bien que mal contre les larmes qui ne manqueraient pas de la submerger d’une manière ou d’une autre.

A vrai dire, c’était normal si on la collait à ce genre d’affaire. N’étant pas spécialement douée lorsqu’il s’agissait d’être active et opérationnelle, elle devait s’occuper de la rubrique des chiens crevés. Chose qu’elle ne comprenait pas vu qu’elle était géniale (haha, humouuur ! sauf qu’elle ne plaisantait jamais lorsqu’il s’agissait de son talent, talent peu reconnu par ses collègues). De plus le fait de se retrouver avec Clay la mettait hors d’elle : que faisaient-ils là, tous les deux ? A se tourner les pouces en attendant que le bon Dieu les mette sur la voie des bandits arriérés du dimanche après-midi ? Aucune action. Juste la patience et l’attente. Cependant Juliet en avait assez d’attendre, à savoir que c’était leur première journée allait bientôt s’achever, c’était vraiment mortel. Tout simplement mortel. Elle aurait mieux fait de rester chez elle à cirer toutes ses godasses, ça l’aurait occupée. Quoi qu’elle n’avait pas à se plaindre. Elle était en compagnie de quelqu’un qu’elle appréciait, sans doute un peu trop, mais était incapable de se tenir en place. Elle avait besoin de bouger, de montrer qu’elle n’était pas morte (non pas qu’on commençait à se poser la question mais…) bien qu’elle se faisait chier comme un rat mort. Elle se frotta vigoureusement les joues afin de se calmer mais rien à faire : une seule idée la tourmentait et c’était une envie, une envie qu’elle avait tellement besoin d’assouvir qu’elle en était devenue douloureuse. Ses membres étaient parcourus d’agréables frissons mais son ventre se tordait lorsqu’elle croisait le regard de Clay. Bordel, mais qu’avait-elle donc en tête ? Coucher avec son partenaire n’était pas très professionnel. Quoi qu’elle avait déjà remis le couvert avec ce dernier quelques jours plus tôt. Mais c’était une erreur, une monstrueuse erreur. C’était le contexte du vestiaire, de la tâche de café, du t-shirt enlevé… On ne voit cela que dans les séries qui ont le même contexte que « Passion » voire même « Amour, gloire et beauté ». Ils n’étaient pas dans James Bond et Juliet n’avait rien d’une James Bond Girl.

« Pardon, pardon… il faut que je me calme. » oui, éventuellement ce serait bien « Bon, autant nous occuper sinon on s’en sortira jamais. Il n’y a pas un jeu de cartes dans cette chambre de merde qui pue le rat mort ? » jurant comme un charretier en fin de vie, Juliet se mit à la recherche d’un jeu de cartes, persuadée que chaque chambre de chaque auberge compte au moins deux ou trois Tarots. Pour tout dire, elle essayait de se concentrer sur ces jeux afin d’éviter de penser à Clay qui se trouvait dans la même pièce qu’elle. Et pas vraiment vêtu en y réfléchissant. (son t-shirt était d’une insolente inutilité) Elle poussa un profond soupir avant de brandir victorieusement un jeu de Mikados. Oui, elle se trouvait dans la même pièce qu’une bête de sexe et ils allaient jouer aux Mikados. Aux Mikados. Aux Mikados ! C’est pas vrai… Refoulant toutes les pensées perverses qui pouvaient la submerger à tout moment, la jeune femme balança le jeu sur le lit de Clay avant de s’installer à ses côtés. Niveau stabilité, on repassera. Et niveau proximité aussi. Elle se contentait juste de fuir le regard de son collègue, se concentrant sur les petits bâtonnets qu’elle s’évertuait à sortir de la boîte.
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Clay S. Kennedy

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MessageSujet: Re: CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.   CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. EmptyDim 14 Nov - 23:35

CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. Lilies_pad_gemma1 CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. 51801
Juliet&Clay

« you're a hot mess and i'm falling for you.»
c. livejournal

Qui aurait pu croire que mettre Juliet et Clay dans une même pièce pourrait être encore plus utile que d’installer un radiateur pour chauffer la pièce ? Qui, si ce n’est Juliet et Clay eux même ? Tous l’ignorait, mais eux deux, ils savaient comment ça se terminait quand on les collait ensemble dans une même pièce, après tout ils en avait vu les effets quelques jours plus tôt. Le fait est qu’ils étaient incontrôlable c’est deux là ! Attirés l’un par l’autre pour une force encore plus forte que cette très célèbre gravité terrestre qui fait qu’un Homme qui se jette du haut d’un immeuble et inéluctablement attiré vers le sol et qu’il s’écrase lamentablement comme une merde. Ben c’était à peut prés la même chose entre Juliet et Clay, il y avait cette force entre deux, dont on peut calculer la valeur en Newton en faisant, ouvrez la parenthèse, vêtements de Juliet - vêtements de Clay, fermez la parenthèse facteur de ouvrez la parenthèse, deux tiers de de la droite d’intersection entre Juliet et Clay, fermez la deuxième parenthèse. Dans le calcul il fait savoir que la droite d’intersection vaut 1 parce qu’il y a vite plus aucune distance entre Clay et Juliet et pour ceux ayant fait un peu de mathématiques dans leur vie, deux tiers n’est pas un chiffre choisis au hasard par la fantaisie de la joueuse mais qu’il correspond bien à quelque chose, visualisez un triangle et souvenez vous du centre de gravité ! Pourquoi la joueuse à pris celui là parmi tous ceux que donne les fameuses droites remarquables d’un triangle ? Prenez le nom qu’on donne au point et faite une analogie entre le lien qui unis Juliet et Clay et vous comprendrez. Bref, revenons à nos petits moutons dans la chambre d’hôtel miteuse dans laquelle logeait Juliet et Clay et des moutons, y en à revendre dans la fameuse chambre ! Fin bref, le fameux calcul de la dite force entre Clay et Juliet tend vers plus l’infini donc il est très difficile d’y résister dur affaire pour les deux agents censés être en missions tel deux personnes tout à fait civilisées et non pas deux animaux en période de reproduction ! Alors, pas d’écart de comportement, c’était le mot d’ordre que se répétait Clay en boucle dans sa tête, cherchant à puiser en son fort intérieur tout le self contrôle dont il avait besoin pour se maitriser et dieu sait à quel point les hommes ont du mal à contrôler leurs pulsions sexuelles. Fuyant le regard de Juliet, Clay fut soudain comme absorbé par une peinture censées décorer le mur de la chambre mais tellement hideuse qu’il avait du mal à croire qu’il s’agissait d’un objet décoratif, à vrai dire il en été même arrivé à se demander ce que ça représenté, certes il n’avait jamais eu une passion pour l’art mais là quand même c’était abusé de foutre un truc aussi moche sur les murs, ça semblait presque expliquer pourquoi cette bourgade paumée n’était absolument pas touristique. Finalement le regard posé sur ce ô combien magnifique tableau Clay avait au moins trouvé un moyen de calmer un tant soit peu ses pulsions qui voulaient absolument le pousser à se jeter sur Juliet comme une bête sauvage et lui arracher ses vêtement sans prendre le temps de lui demander son avis. Au final il se sentit obligé de regarder à nouveau dans sa direction quand elle reprit la parole. Il l’écouta plus concentré sur ses tentative de calmer ses pulsions quasiment incontrôlable, persuadé que même dans un immeuble en feu, ils seraient capables de se jeter l’un sur l’autre pour une partie de jambe en l’air ! Il eu un léger mouvement de recul, rappelé soudainement par un dossier que Juliet tenant juste sous son nez presque comme s’il s’agissait d’une arme pour le menacer. Le dossier, il le connaissait, il l’avait lu plus d’une fois et certes, c’était une mission bien pourries, ça avait quelque chose de frustrant, un peu comme s’il étaient mit sur le banc de touche, un peu comme si quelqu’un avait douté de leur potentiel taux de réussite lors d’une mission un tant soit peu plus importante ! Merde alors, ils n’étaient quand même pas des agents tout pourris incapable de réussir une vraie mission ! Pour sa part, peut être que oui, lors de sa dernière mission, pris d’un coup de colère, Clay avait fait le con et au final on l’avait balancé par la fenêtre, mais c’était une petite erreur de parcourt nan ? Nan. Absolument pas, Clay avait carrément souvent tendance à péter les boulon et a faire n’importe quoi, mais il avait quand même réussit des missions un peu plus classe que d’arrêter une poignet de glandus pas plus futés que des gosses en écoles maternelle, nan, fallait pas pousser mémé dans les orties quand même ! Des bandits de bas chemin aussi cons que des manches à balais ! Clay laissa échapper un nouveau soupire alors que Juliet commençait à s’énerver et envoya le dossier voler et s’écraser contre le mur, Clay ne pu s’empêcher de se dire que cette petite colère rendait Juliet affreusement sexy. Quelle pensée stupide, il devait de suite effacé ça de l’engin situé entre ses deux jambes qui semblait pour le moment être son seul en unique cerveau !

« Ouais, c’est vrai, on nous prend un peu pour des gogoles de première catégorie sur le coup, mais si on arrive leur mission périmée, peut être qu’après ils arrêterons de nous prendre pour des pigeons … »

Peut-être, peut-être pas. Après tout, même cette mission là, rien ne pouvait garantir qu’elle soit réussie sans dommages collatéraux ! Ils étaient sans doute capable de faire exploser la ville entière sans le vouloir alors bon, permettez leurs supérieurs de douter de leurs capacité même si, eux même trouvaient ça injuste qu’on les prenne pour des bons à rien. Enfin bon, Juliet s’excusa avant de partir à la recherche d’un quelconque jeu de société dans cette piaule pourrie, comme si elle avait cru que les jeux de société sa tombait du ciel. Clay regarda sa PSP posée sur le meuble de chevet prés de son lit, songeant qu’il n’avait toujours pas fini Silent Hill Origins, et qu’il ne le finirait sans doute pas ce soit d’autant plus que Juliet venait de trouver par un heureux hasard, un jeu de Mikado, allez savoir ceb qu’il foutait paumé dans une chambre périmée d’un hôtel moisi d’une ville semblant être le trou du cul du monde, sans doute que les derniers occupants de cette chambres étaient des trisomiques qui n’avaient rien d’autre à faire que de jouer à ce jeu ô combien stupide qu’était le Mikado, d’ailleurs, une question vient soudain à l’esprit de Clay : Qui était le mec assez demeuré pour inventer un tel jeu à la con ? Genre, le gars, il se lève le matin et il se dit « Han putain l’idée de ouf que je viens d’avoir ! Imaginons plein de bâtons qu’on superpose un peu à l’arrache et la, but quand même assez impressionnant, prendre les bâtons sans faire bouger les autres ! » ha bah bravo pour cette idée de génie monsieur Mikado ! Encore un gros débile de la vie, un peu comme monsieur Ping-Pong tiens, ces deux là ils font une sacrée paire de boulets ! Fin bref, Juliet vint s’assoir sur le lit de Clay qui ne s’était pas attendu à ce qu’elle fasse pencher ainsi le lit ! Il devait penser à se pas se vautrer trop brutalement dessus parce que si le poids plume de Juliet faisait cet effet au lit, lui, il allait sans doute le casser en deux !

« Un mikado, formidable … l’un des jeux les plus débiles qui a été inventé … »

Oui, Clay manquait sûrement d’enthousiasme face à ce jeu ô combien palpitant avec ce suspense de malade qu’il pouvait laisser au point de faire couler la petite goutte de sueur sur le front des joueurs en pleine concentration pour ne pas faire bouger les putains de bout de bois stupide ! Impatient comme l’était Clay, il était quasiment sûr qu’après deux tours il allait foutre le feu aux fameux bout de bois qui servaient de jeu. Non décidément, même s’il essayé de calmer ses pulsions, il ne pouvait s’empêcher de se dire qu’ils avaient VRAIMENT mieux à faire qu’un stupide mikado !
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MessageSujet: Re: CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.   CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. EmptyLun 15 Nov - 21:36

CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. 29w0j14 CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. 24wzi1d
    And I wonder if I ever cross your mind,
      and for me it happens all the time .
Spoiler:
Clay manquait tellement d’enthousiasme que Juliet leva les yeux au ciel, excédée. Ils avaient du temps à tuer et s’il ne mettait pas du sien, ils n’arriveraient jamais à combler les vides de leur folle journée. La jeune femme coula un regard au réveil de son coéquipier et grogna en remarquant qu’il n’était que vingt heures. Se coucher aussi tôt… pourquoi pas avec un lait chaud et une charmante histoire de Winnie l’Ourson qui va à la pêche en compagnie de ses joyeux copains ? La demoiselle grogna de mécontentement et referma la boîte qui contenait le jeu d’un coup sec. De mauvaise grâce, elle le lança aux côtés du bordel qui trônait sur son lit. Il rebondit et tomba à terre. Flemmarde, J. ne bougea pas d’un pouce, se contentant de faire ce qu’elle savait faire le mieux : bouder. C’est-à-dire pincer les lèvres, lever le nez en l’air et concentrer toute son attention sur la lampe qui éclairait faiblement la chambre miteuse dans laquelle ils se trouvaient. Mais bouder, ce n’est plus drôle au bout d’un certain laps de temps : Juliet tint trente secondes sans parler, un record qui mériterait d’avoir sa digne place dans les annales. Elle s’allongea sur le lit de Clay, prenant garde à ne pas se fracasser la tronche par terre car elle faisait dangereusement bouger le matelas en se mouvant vers l’oreiller. L’agent 22 jouait avec le feu et tentait tant bien que mal de ne pas se brûler à la flamme de son désir qui ne faisait que croître au fur à et à mesure du temps écoulé. Elle appelait le Diable là, qu’il vienne lui piquer le cul avec sa fourche de l’enfer, ça la remettrait rapidement dans le droit chemin. Chemin qu’elle avait perdu de vue depuis qu’elle avait entamé cette mission en compagnie de son… de son… que pouvait être le qualificatif de Clay ? Amant ne semblait pas être un mot qui lui convenait. Ils n’avaient couché que deux fois ensemble. Est-ce suffisant pour faire de lui un « amant » ? De plus, ils étaient jeunes lors de leur première amourette… et la seconde les avait rendus distants l’un de l’autre. En pénétrant dans cette chambre d’auberge, ils ne s’étaient pas jetés dessus sans même prendre la peine de respirer. Au contraire, ils s’étaient à peine regardés, choisissant leur lit avec un soin tout particulier. Chaque activité inutile devenait miraculeuse lorsqu’il s’agissait de s’éviter. « Bon et bien… étant donné que tu ne veux pas y mettre du tien… » Juliet enfonça un peu plus son crâne dans l’oreiller, songeuse. Ils ne pouvaient décemment pas… non, non, Juju, enfonce-toi bien ça dans la tête : jamais plus tu ne « dormiras » avec Clay (quoi que dans les vestiaires, ils n’avaient pas vraiment dormi… remarquez, ils auraient pu, par terre, avec des feuilles de dossier en guise de seul et unique vêtement). Une fois et demi, ça va bien comme ça, oh ! « On fait ce que tu veux, je m’en fiche. » mentit-elle avec aplomb. Jamais mensonge ne parut aussi véridique qu’à cet instant.

Juliet, la moue renfrognée, jeta un coup d’œil à la table de chevet près du lit de Clay. Oh, une PSP. Un geek. Génial. Elle avait envie de remettre le couvert avec un geek. Il faut savoir que, pour Juliet, tout était bon pour être geek. Il suffisait d’aller sur l’ordinateur de manière quotidienne pour qu’elle vous pointe du doigt et vous accuse d’être un geek. A croire que c’était une insulte. De plus, en ce qui concernait Clay, elle ne pouvait pas l’avouer parce que c’était difficile à croire mais elle mourrait d’envie de se mesurer à lui dans un jeu de combat de merde dans lequel elle crevait toujours au bout de trois coups et demi. Ouais, parce qu’en plus d’être un boulet renommé dont l’ego atteignait le sommet du Mont Everest, elle était aussi nulle en matière de jeux vidéos. Ca devait être pour cela qu’elle n’aimait pas les consoles, les « geek »… elle savait bien qu’elle était nulle. Mais autant être nulle et digne jusqu’au bout que de s’incliner mollement dans la puissance des maîtres de l’art du virtuel. Elle valait mieux que ça, quand même ! (quoi que) La jeune femme reporta son attention sur son « ami / amant / collègue / putain, mais t’es qui toi ? » et ne pût s’empêcher de sourire d’une manière très niaise. Il était vraiment craquant comme garçon et qu’il était sexy avec ce t-shirt qui soulignait toutes les parties de son corps qu’elle adorait littéralement… mon Dieu. Elle recommençait à fantasmer et c’était très mauvais pour elle. Ne pouvant cependant pas faire autre chose que d’observer Clay les yeux écarquillés comme un saumon en fin de vie, Juliet préféra l’ouvrir afin que son comportement saccadé de pantin désarticulé puisse passer inaperçu (pas sûre que ça marche)…

« C’est faux, je m’en fiche pas, tout compte fait. » et ce fut le silence qui prit place dans la pièce. Dis quelque chose meuf, n’importe quoi, tu t’en fous, t’es une originale, sois forte ! « Tu veux bien… euh… » parle viiiiite, sinon ça va être mon pied au cul, c’est clair ? « Tu veux bien jouer pour moi ? Pour me faire plaisir ! » s’exclama-t-elle, avec une sorte de ravissement qui la rendait assez maussade à vrai dire (mentir honteusement ne la mettait jamais à l’aise), en se tendant à l’extrême afin d’attraper la console qu’elle saisit avant de la secouer sous le nez de Clay. Elle tenta un nouveau sourire réjoui alors que le seul résultat valable qu’elle obtint fut une grimace intéressante. Juliet, avec un soupir las (très laaas), mit sa console sur les genoux de son propriétaire. Un long frisson lui parcourut l’échine lorsqu’elle frôla la peau du bras de son collègue. Elle avait raison de résister à cette tentation qui la rendait démente : si jamais elle se laissait aller, aucune de leurs missions qu’ils allaient avoir en commun ne sera résolue. Mais ne pas céder à Clay la rendait tout aussi dingue. N’y avait-il pas un juste milieu, un centre d’attention tout à fait correct ? De plus, rien ne lui suggérait que C. était dans son jeu et qu’il avait tout aussi envie qu’elle de reprendre la partie là où ils l’avaient laissée la dernière fois qu’ils s’étaient vus.

Légèrement courbatue, Juliet se pencha vers Clay, comme inconsciente que ce rapprochement allait fatalement la pousser à l’embrasser à pleine bouche. C’était normal, en même temps. Elle soupira une nouvelle fois et retomba lourdement sur l’oreiller qu’elle rehaussa pour être à son aise.
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Clay S. Kennedy

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MessageSujet: Re: CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you.   CLAY ☏ you're a hot mess and i'm falling for you. EmptyVen 19 Nov - 23:23

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c. livejournal

Clay manquer d’enthousiasme face à un jeu de mikado ? Impossible voyons, Clay était un amoureux des mikados et ça se voyait sans doute au premier regard ! Un type qui ne connait pas le jeune homme et qui le croise dans la rue, la première chose qu’il se dit c’est « ho, ce type là, il a une passion pour les mikados ! ». Pas plausible ? Non, carrément pas, en effet, Clay n’est absolument pas un grand joueur de mikados, bien au contraire, faut dire aussi qu’il est plus impatient qu’une groupie sur le point de rencontrer Robert Pattinson et à mon avis, une groupie sur le point de rencontre l’autre moche, ça doit être l’apogée de l’impatience ! Quoi qu’il en soit, Clay avait bien remarqué que sa réaction avait quelque peu froissée son équipière qui balança les mikados jusqu’à son propre lit, avec ce mécontentement digne d’une enfant qu’on aurait vexée. Bien sûr, Clay aurait pu se la jouer « gentleman » et dire à Juliet que même s’il avait une sainte horreur des mikados et des jeux de sociétés en général, il voulait bien faire un effort et jouer avec elle, mais rien qu’en s’imaginant en train de jouer aux mikados il sentait un certain énervement monter en lui, alors autant ne pas concrétiser la chose sinon une chose et sûre, il pourrait vraiment s’énerver et casser en deux chaque malheureux petit bout de bois de ce jeu ô combien pathétique. Au final, Juliet tenta den bouder, réaction cette fois encore digne d’une enfant de quatre ans et encore, les enfants quand ils boudent, ils boutent vraiment, ce qui n’était pas le cas de Juliet, de toute évidence, elle n’était pas du genre à laisser le silence s’installer dans une pièce celle là, de toute évidence, le dit silence et le malvenu dans les lieux où va Juliet ! Au final elle s’allongea sur le lit de Clay, un peu comme si elle était chez elle, bien que Clay espérait vivement que le lit que la jeune femme possédait chez elle était un peu plus résistant que ceux de la chambre d’hôtel miteuse dans laquelle ils créchaient ! Quand elle s’allongea le matelas tangua dangereusement dans un bruit de ressort assez impressionnant. Décidément, ils n’auraient pas pu tomber dans une ville pire que celle là ! Ils étaient sans aucun doute dans la ville la plus pourrie des États-Unis ! Une autre chose ne laissait pas de doute, c’est que le jour où il serait envoyé en mission dans une autre ville pourrie, Clay pensera encore une fois que cette nouvelle ville est la plus pourrie des Etats-Unis et rebelote le jour où il explorera une autre ville pourrie, en prenant ses éléments en compte, on peut en conclure que Clay et Juliet ne sont pas dans la ville la plus pourrie des États-Unis malgré ce qu’ils pourraient être amenés à croire en cet instant précis. Bref, il n’empêche, qu’un lit, Juliet allongée dessus, le fait qu’il soit encore trop tôt pour se coucher pouvait aisément perturber encore plus le jeune homme qui détourna bien vite les yeux de Juliet, regardant un autre coin de la pièce comme s’il s’agissait de la chose le plus intéressante du monde, alors qu’il fallait se rendre à l’évidence, à part Juliet et les possibilités d’occupation qu’elle offrait, il n’y avait absolument rien d’intéressant dans cette chambre d’hôtel, mais, Clay n’était pas encore prêt à se rendre à l’évidence, luttant au contraire pour éloigner cette pensée de sa caboche ! Pensée qu’il n’a pas l’habitude d’avoir, après tout Clay est bien loin du gros pervers qui ne pense qu’à baiser avec n’importe qu’elle femme qu’il croise un peu n’importe où, non, Clay avait beaucoup de respect pour les dames et il en avait d’autant plus pour Juliette vu qu’elle était l’une de ses collègues de travail, par conséquent, Clay se détestait presque de pouvoir avoir de telles pensées ! Les hommes bien comme il n’en existe plus beaucoup aujourd’hui apprécie d’abord une femme pour ce qu’elle est et non pas pour son corps ! Evidement, on ne pouvait pas non plus dire que la seule chose que Clay aimait chez Juliet c’était son corps, mais c’était bien souvent la seule chose sur laquelle il se focalisait pour une raison qu’il ne pouvait même pas expliquer car il l’ignorait.

Le jeune homme reposa les yeux sur la jeune femme quand elle s’exprima de nouveau, après un silence qui pour certain aurait été trop court, mais pour Clay, ça avait été suffisamment long pour que ses pensées et ses envies reprennent le contrôle sur son sens des responsabilité et son respect envers Juliet ! La fixant quelques secondes, il serra la mâchoire avant de détourner rapidement le regard tout en bougonnant un très discret « désolé ». Quand elle pris de nouveau la parole, il décida de maintenir son regard poser sur le mur d’en face dont le papier peint était des plus laid, ce jaune pourris avec ses espèces de fleurs hideuses, ça faisait grand-mère et encore, Clay ne se souvenait pas que la tapisserie de sa grand-mère ait été un jour aussi laide que ça ! De toute évidence, il avait du mal à croire qu’une quelconque tapisserie soit pire que celle là, cette horreur qui pouvait faire frissonner le plus courageux des hommes et qu’il n’allait pas tarder à foutre des maux de tête à Clay s’il continuait de la fixer ! Juliet proposa de faire ce qu’il voulait, à cette réplique, sa mâchoire se serra davantage. Faire ce qu’il voulait ? Non, c’était très certainement une mauvaise idée, car ce qu’il voulait le plus au monde en ce moment là, c’était s’envoyer en l’air avec la belle Juliet, et voilà que cette pensée, ce désir incontrôlable était revenu envahir ses pensées, idée définitivement indestructible dont il n’arriverait décidément pas à se débarrasser plus que quelques infimes minutes, durée de temps largement négligeable comparé au temps qu’ils allaient passer ensemble pour cette mission qui avait d’ailleurs, tellement peu d’importance, que personne ne pourrait leur reprocher d’avoir franchit la limite que leur boulot commun leur imposait. De toute façon, qui pourrait bien leur reprocher d’avoir pris du bon temps entre adultes consentants et pleinement conscients de leurs actes ? Clay cherchait bien des excuses à cette envie démentielle qu’il n’allait pas pouvoir contenir indéfiniment, l’envie sexuelle chez un homme dépasse bien souvent le stade neurologique et interne pour être visible physiquement depuis l’extérieur, tellement dure à contrôler qu’on peut parfois se demander si les organes génitaux masculins sont reliés à leur système nerveux ou s’il s’agit d’un mécanisme indépendant du cerveau, presque comme qu’il s’agissait du troisième centre nerveux de l’être humain mâle les deux autre étant commun aux femme c’est à dire le cerveau et la moelle épinière ! Bref, Clay continuait cette lutte intérieur alors que Juliet avouait que finalement, elle ne s’en fichait pas de ce qu’ils pourraient bien faire pour s’occuper. Le son de sa voix ramena Clay sur la planète terre, lui qui luttait intérieurement contre toutes ses fichues hormones qui le rendait fou ! Il se retourna vers la jeune femme qui venait de lui demandé s‘il ne voulait pas … et rien d‘autre après. La mâchoire toujours autant crispée, les sourcils haussés comme s’il attendait la suite de la phrase il regardait Juliet, qui ne tarda pas à terminer la dite phrase. D’ailleurs il fut surpris de cette suite de phrase et il regarda soudainement le plafond alors que Juliet attrapait la PSP posée sur la table de nuit, rien que se geste semblait être une véritable provocation pour ses hormones déjà bien en énervées ! Il ne tarda pas à attraper la console que la jeune femme avait déposé sur ses genoux, passant plus ou moins outre le bref contact entre leur deux peaux quand la jeune femme avait frôlé le bras de Clay. Il alluma la console, silencieux alors que Juliet s’était vraiment rapprochée de lui et qu’il sentait des alarmes en lui comme si on essayait de lui dire « vas y mec décale toi, la distance de sécurité est pas du tout respectée ! ». Appuyant nerveusement sur les boutons de sa console, Clay lança le jeu.

« Hm, bah tu vois, là je dois trouver la … la clé qui … ouvre la .. La porte et … »

Long soupire, il n’arrivait pas plus à parler sans couper scinder ses phrases, la honte. Il passa nerveusement une main dans ses cheveux tout en dirigeant difficilement son personnage qui du coup avait lui-même l’air d’avoir du mal, d’autant plus que la réflexion de Clay était très limitée, il ne parviendrait jamais à résoudre l’énigme pour trouver la fameuse clé, il le savait très bien, il leva légèrement les yeux au ciel sentant que la résistance était presque arrivée à sa fin.
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